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Table des matières !


L'Union européenne (et ses instances dérivées) est le bras armé de la destruction des peuples, le péril pour la démocratie qui vient.

Je vous invite à visionner cette courte vidéo où le démographe et historien Emmanuel Todd explique en substance ce qu'est la Construction européenne actuelle :

Ce paragraphe fait guise d'introduction à mon propos. Je suis un citoyen remonté et profondément en colère, un gilet-jaune sans doute un peu esseulé. La vocation de cette page est d'exposer de manière la plus simple, les raisons objectives qui portent à considérer l'UE comme l'instance qui sacrifie les peuples sur l'autel de l'ordre marchand par le démantèlement progressif de leur souveraineté. En plus de poser le constat, je me permettrai d'y faire figurer les possibles solutions politiques (plateformes politiques, structures partisanes) et sans doute aussi une critique vis-à-vis des mouvements souverainistes en France, qui ne sont absolument pas à la hauteur de l'enjeu. En outre, ce site permet aussi de référencer des documents (vidéos, rapports, autres sites internets) utiles pour comprendre (et faire comprendre surtout !) les points précédents. Il a vocation à être partagé et à servir de support pour convaincre vos proches, qui croient peut-être encore que la "gôche" ou la "drouate" mènent des politiques intrinsèquement différentes quand bien même vous verrez plus bas, que la gauche de l'individu (anticommuniste) - issue de la sociale-démocratie la plus molle et abreuvée de christianisme mourrant - et la droite du fric (antigaulliste) - issue de la démocratie chrétienne - ont agi de concert, concouramment, dans cette entreprise de destruction du commun des hommes au nom des intérêts de l'Empire américain et par lui du Spectacle, régime politique du capitalisme avancé.

« Je suis perdu, tout cela me dépasse... »

...et c'est bien normal ! Désolé de vous avoir peut-être terrorisé avec ce qui a été dit précedemment, et des "grands mots" : destruction des peuples, péril démocratique, ordre marchand, souveraineté, sociale-démocratie, anticommunisme, démocratie chrétienne, antigaullisme, Empire américain, Spectacle, capitalisme. Ne vous affolez pas, restez concentrés et ne quittez pas cette page. Ci-dessous vous trouverez un glossaire/lexique (et des références pour les comprendre) simple définissant des concepts généaux et termes politiques qui peuvent sembler compliqués aux premiers abords, mais qui sont d'une part requis pour construire efficacement sa propre pensée - qui est le devoir qui est le vôtre citoyen, ou alors ne rouspétez pas quand Manu repoussera une énième fois votre départ en retraite - et d'autre part, s'ils sont pris la tête posée et calmement, sont accessibles à tous.

Le point fondamental de cette page est qu'elle est apartisane ! Cela ne veut pas dire qu'elle ne prétend pas ne pas faire de politique, elle est éminemment politique, elle vit la politique et la fait vivre alors qu'on veut la taire et la remplacer par le divertissement généralisé. La critique de la construction de l'Union européenne est unilatérale : de tous partis, de droite, de gauche, en dehors, des gens honnêtes essaient de mettre leur nez dans des mécanismes volontairement obscurs pour endormir les peuples. Ainsi, vous trouvez des critiques plutôt socialisants, d'autre plus libéraux, et d'autres qui décident de ne simplement pas se positionner sur ce clivage.

Tout d'abord que veut dire Eurovoir ? C'est pour éviter l'anglicisme Frexit qui désigne le mouvement ou le processus qui cherche à ce que la France quitte l'Union européenne. Il faut saisir tous les sens dans Eurovoir : « UE (en anglais European Union soit EU) au revoir !», « Euro au revoir ! »

Ce qu'est la politique ? Aujourd'hui, une farce. Hier, le chemin de l'émancipation. Que veut dire ce mot ? Aujourd'hui, on le méprise, et à raison ! La politique contemporaine est un spectacle, on allume la télé, on voit un ring ; on écoute un discours, on est inondé de punchlines, de chiffres savants, de blabla technocratique incompréhensible et fabriqué pour être comme tel : en définitive, la politique moderne est un spectacle, on la contemple, de loin ; mieux, on la consomme ! Mais qu'était-elle réellement ? Polis désigne la cité en grec ancien (la Grèce antique est le lieu où naquit le principe démocratique), et la cité est la communauté des hommes. La politique était donc à l'origine, ce qui avait trait à la vie commune des hommes. C'est en ça que je dis qu'elle était le chemin de l'émancipation, car c'est dans la communauté des hommes que naît notre liberté personnelle. Aujourd'hui, la liberté personnelle est redéfinie en désir insatiable de consommation et la communauté est balayée car oppressive pour ladite « liberté individuelle ». Une de nos tâches est de se battre pour ramener la politique justement, et certainement pas d'être apolitiques, quoique cela puisse paraître sensé à une époque où la politique est dénaturée : mais il faut combattre, lutter pour la réappropriation des mots et ne pas les abandonner au verbe des tyrans qui cherchent à vous entourlouper !

Vous avez dit « apartisan » ? Toujours dans l'optique de retrouver le sens réel des mots, apartisan veut dire « sans parti ». Le parti politique moderne, comme groupement structuré pouvant établir un rapport de force, est né de l'appel de Karl Marx dans son Manifeste du Parti communiste (1848) ; mais existait déjà auparavant comme « club » (exemple : Club des Jacobins à la Révolution française de 1789 où se trouvaient Robespierre, Danton etc.). Si la structure même du parti peut s'avérer un outil puissant pour la conquête du pouvoir (exemple du Parti bolchévique qui réussit par sa force de structure et d'organisation à accéder au pouvoir en Russie), le parti peut très vite effacer les principes pour lesquels il s'était constitué et désirait se battre, pour des intérêts particuliers et individuels, et de ce fait se laisser ronger par l'affairisme, l'arrivisme, l'opportunisme, en bref les magouilles . Je vous laisse vous documenter avec cet extrait de Jean Gabin dans Le Président (1961) et une vidéo du Précepteur :

« Tout le monde parle de l'Europe, mais c'est sur la manière de faire cette Europe que l'on ne s'entend plus, c'est sur les principes essentiels que l'on s'oppose ! (...) Un projet est prêt, je peux déjà vous en dénoncer le principe : la constitution de Trusts horizontaux et verticaux et de groupes de pression qui maintiendront sous leur contrôle, non seulement les produits du travail, mais les travailleurs eux-mêmes, on ne vous demandera plus messieurs, de soutenir un ministère, mais d'appuyer un gigantesque conseil d'administration ! Si cette assemblée avait conscience de son rôle, elle repousserait cette Europe des maîtres de forge et des compagnies pétrolières ; cette Europe qui a l'étrange particularité de vouloir se situer au-delà des mers : c'est-à-dire partout sauf en Europe ! »

« Les partis ne sont plus que des syndicats d'intérêt ! »

Comment l'Union européenne fonctionne-t-elle et détricote-t-elle notre indépendance ?

La suppression de notre souveraineté politique

La suppression de notre souveraineté monétaire

Pourquoi (et pour quoi/qui) l'Union européenne agit-elle ?

Historique de la construction (destruction) européenne (française)

Soubresauts d'États-Unis d'Europe

La Seconde guerre mondiale

Après-guerre

Maastricht (1992)

l'Euro (2002)

Traité établissant une constitution pour l'Europe (2005)

Les instances de Bruxelles, une farce démocratique savamment entretenue

Le « Parlement » européen

La banque centrale européenne

La commission européenne

Marché européen de l'énergie

L'OTAN

Structures servant l'influence américaine (FMI, Banque mondiale, OMC)

La mise sous tutelle des forces syndicales (CES-CSI)

« C'est bien beau, mais que faire ? »

Analyse du paysage politique français

Gôche et drouate, drouate et gôche, des conneries qui ne volent pas très haut

Américanisation du débat politique = disparition du citoyen pour le consommateur

À propos de l'opposition contrôlée

Rassemblement « national » ou la SARL de Montretout

La SARL de Montretout en chemin vers la société anonyme transeuropéenne

Le Front national [1] fut créé à la suite d'Ordre nouveau en 1972, par ce qui était alors largement des partisans de l'Algérie française et de l'OAS (Organisation armée secrète [2]), OAS qui comptait effectivement des anciens de la Collaboration, mais également des anciens de la Résistance. Le positionnement politique de ce Front est nationale-conservatrice et nationale-libérale. Son leader Jean-Marie le Pen est dévoilé au grand public par l'émission l'Heure de vérité en . Hostile au gaullisme, le Front national est employé politiquement par Mitterrand pour affaiblir la droite "gaulliste" aux élections législatives de 1986. Il est alors réaganien, thatcherien en ce qu'il est ouvertement atlantiste par anticommunisme viscéral ; mais recherche également des ponts avec la droite classique dans une optique d'alliance qui sera rejetée par Jacques Chirac. À l'heure de l'effondrement du Bloc communiste et du communisme comme force politique conséquente, le Front national se réoriente vers une posture plus anti-mondialiste et critique du libéralisme, du libre-échange, de la construction européenne et de l'OTAN.

Bardella, un communicant macronien

Jordan Attal, Gabriel Bardella, on ne sait plus trop ce qui distingue le désormais Rassemblement national et le parti "Renaissance", tant dans le fond de leur discours que dans leur forme digne de publicitaires et autres "punchliners" plus enclins à trouver la petite phrase qui fera le tour des réseaux prétendument sociaux qu'à travailler au salut de la patrie. Jordan Bardella est ouvertement pour une union des droites sauce UMP, contre toute idée de sortie de la France de l'UE, comme il l'affirme ici (comparant tragiquement la situation présente à un jeu dans lequel on est train de gagner, en oubliant de spécifier que le jeu est un jeu de casino, et que le casino est la Banque face à laquelle on ne gagne jamais)

Reconquête ou le Bourgeois raciste

Nos chers écolos

L'intérêt énergétique allemand

https://www.liberation.fr/checknews/pourquoi-une-fondation-ecolo-allemande-a-t-elle-recu-192-millions-deuros-de-lentreprise-de-gaz-russe-gazprom-20220825_LYWOKLZKIJBL5AUENMZJF2USQQ/

Les Ripoublicains

L'héritage gaulliste...

L'appel de Cochin :

... abjuré à Maastricht

En 1992, les partis centraux de gouvernement, à savoir le RPR et le PS agissent de concert, main dans la main, afin de faire voter le traité de Maastricht. Hormis des factions minoritaires au sein de ces partis, ceux-ci dévoilent pleinement leur projet et leur complémentarité : lorsque l'un est au pouvoir, l'autre se charge de jouer l'opposition pour occuper le terrain et museler toute opposition véritable.

Le parti « socialiste »

Le parti de la rose au poing, de changer la vie, de l'Internationale qui trahit

Le « socialisme » d'un parti résolument antisocial et impérialiste

De la conférence de Zimmerwald à Raphaël Glucksmann

Le parti « communiste » français

Un communisme en déshérence d'idées

La France (vraiment ?) insoumise (vraiment ?)

La chute d'un espoir de gauche

Évincement de la Georges Kuzmanovic, de François Cocq, de Charlotte Girard : ON NE PEUT PAS DÉSOBÉIR AUX TRAITÉS SANS QUE LES INSTANCES EUROPÉENNES NOUS COULENT !

Le parti qui ronge sa politique

À propos des oppositions réelles (?) au pouvoir en place

Union populaire républicaine

Pôle de renaissance communiste en France

Cercle Aristote

Les Patriotes

République Souveraine

Résumé de la situation et des arguments

Situation

Vérification des faits contre Fact-checkiiing

Contre-arguments pour savoir quoi rétorquer

Arguments contre l'UE

Voter souverainiste le 9 juin ?


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